Friday, February 20, 2009

Le grand Maestro de l'éthique


Photo: Erazm Ciolek
Auteur: La Salamandra Blanca

Donc il a enfin reprit ses Réflections. Mais cette fois avec une forte rhétorique envers les États-Unis. D’une manière ou d’une autre il parle toujours de sujets qui mènent à questionner l’approche du gouvernement d’un pays avec lequel il avait juré, en secret ou non, de « combattre » jusqu’à la fin de ses jours.

Il se plaint qu’ils ont imposés un embargo économique sur nous depuis plus de 50ans et on dirait vraiment que tout ce qu’il fait sert à les provoquer encore plus et à les pousser à le garder. Nous savons que ce serait bénéfique pour lui car l’Embargo est blâmé pour la faim et la rareté, et a servit à justifier l’embargo interne dans notre pays qui a produit plusieurs de nos désastres.

Les Réflections de jeudi le 5 février, « Les contradictions entre la politique et l’éthique de Obama » est formulé avec 14 questions à considéré au sujet du président. Il essaye encore une fois de lui rappeler, est clairement, nous rappeler toutes les mauvaises choses que, historiquement, le gouvernement de son pays a faites à Cuba et au reste du monde. Presque un page entière demande si Obama est bon ou s’il est juste, ceci et cela, et tout ça, le Grand Maestro de l’éthique, veux débattre et questionner la vision des autres.

Et qu’est ce qu’il y a de juste et bon ici, quand fera t’il un auto-examen pour se voir lui-même comme nous, ici bas, ceux qui ont les pied sur terre, le voyons? Ou peut-être, est-ce son égo qui lui en empêche?

Ne réaliste t’il pas que nous ne sommes plus intéressés d’en savoir plus à propos des dires ou des actions du président des États-Unis; mais que nous sommes intéressé à ce qu’ils ont fait ici, dans ce pays, lui et son gouvernement , et que font-il ou que vont-il faire pour résoudre ce qui nous concerne? Il écrit à propos de la protection de l’Humanité contre la détérioration du climat, mais il ne parle pas de la fraction de l’Humanité qui résident dans ce pays et de la détérioration pure, qui n’est pas exactement due plus précisément.

Pourquoi le rôle de ce saint personnage (important à l’échelle internationale, qui questionne la dignité des autres et qui se réfère toujours à son intérêt pour l’Humanité) de refléter publiquement tous les jours, de se demander ces questions qui « n’ont pas de réponses faciles ». Surtout au sujet de ce que nous voulons savoir, avoir, changer et voir ici.

Qu’a-t-il fait pour nous en 50ans de pouvoir absolu? Et je vous demande, s’il vous plait de parler de plus que l’habituel, réforme agricole, campagne de littérature, médecine et éducation« gratuite », ceci c’est du passé. Nous habitons maintenant dans une autre ère, avec d’autres besoins, avec une autre façon de penser et de vivre, nous sommes les AUTRES; je veux dire nouveaux, différent et distincts. On en a assez de vivre avec les souvenirs des désastres surmontés et réglés par la Révolutuion, qui a rapidement cessé d’être révolutionnaire.

Il ne commet pêché, dit-il, en présentant humblement ses idées. Mais il ne permet pas que personnes d’autres expriment les leurs, aussi librement et humblement (à moins qu’ils critiquent les États-Unis) surtout pas si c’est pour questionner quoique ce soit dans ce pays et encore moins si c’est fait publiquement; car il impose la censure ou on voit venir le porte-panier sans scrupule avec un pouvoir presque absolu et un cellulaire spécialement programmé pour faire un appel urgent à la police; et avoir la liberté d’expression (même si tu portes un habit) est seulement un rêve qui devient un cauchemar dans lequel tu te réveilles en prison, ou au moins avec un avertissement et une amende.

Je pourrais écrire des réflexions avec le titre : Les contradictions entre l’étique et la politique de Fidel. Où je demanderais au Maestro sa propre question : « Est-ce juste de promettre une réconciliation d’intérêts si contradictoires et opposés sans compromettre ses valeurs? »

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