Opération nettoyage
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Angle des rues Infanta et Vapor, 20h. Un échafaudage grince sous le poids
de ses occupants. La zone est sombre, mais malgré cela, deux peintres
passent leu...
Thursday, February 12, 2009
Liberté d'expression VS la presse officielle
Photo du consula Cubain à Barcelone, du site Penúltimos Dias
J’ai lue l’article, “Les Idées et les médias” publier par Karel Pérez Alejo dans Bloggers Cuba, et je daigne donner mon opinion humble et quelque peu radicale (si je peu jumeler un adverbe avec cet adjectif) sur ce sujet tabou (?!) : la Censure.
Je n’aime pas donner des solutions car je crois que c’est la responsabilisée des politiciens, des sociologues et des spécialistes, mais ceux qui se trouvent dans notre territoire nationale n’ont pas l’air bien informés, comme nous le verrons bien dans cet article; donc je vais écrire ici ce je crois seraient des solutions, qui pour le meilleur, le pire ou entre les deux, ne sont pas censurées.
J’observe et je note que les journalistes et les organes officiels de la presse se pissent et se chient dessus à tous les jours aux nouvelles, comme Porno Para Ricardo le disent dans leur chanson Les Journaliste. Je crois que la création d’une presse indépendante est urgente, indépendante de l’État avec des journalistes qui ont le droit de s’assemblement et d’association, c'est-à-dire, qu’ils peuvent former leur propre syndicat, se réunir et organiser comme bon leurs semblent et, bien sûr, le droit d’imprimer leurs journaux et les revues pour rencontrer la demande nationale. Comme ça, les journalistes ne seraient pas forcer d’embellir les nouvelles et seraient protégés par un syndicat qui défendrait leurs droits. Incidemment, nous pourrions aussi avoir une poste de télévision qui opère à part de la ICAIC et le ICRT. En 1979, un poète Polonais lauréat d’un prix Nobel venait de publier un éditorial clandestin : Nova. Par la suite en 1981 le journal Solidarité circulaient librement en Pologne et la Serbie avait un poste de télévision indépendant.
Si les artistes ne se sentent plus représentés par les institutions (UNEAC, ICAIC, ICRT, Conseil National des Arts Plastiques, ou peu importe), ils pourraient donc s’assembler entre eux et former leurs propres organismes. Si nous sommes tous si fatigué d’être censuré continuellement par les mêmes organes de pouvoir, ne serait-ce t’il pas mieux de les laisser de côté et d’en créer un nous-mêmes? SI la Gazette de Cuba ne publie pas des nouvelles importantes aux artistes et aux écrivains, au lieu de se battre avec eux au sujet des omissions, nous pourrions publier les nouvelles dans un autre magazine, d’une qualité littéraire égale, indépendamment de la Gazette et de l’institution du Livre et de tout autres liens gouvernementaux, car les artistes devraient être complètement libre dans leurs travaux et leurs diffusions.
Car ces droits doivent s’appliquer d’une façon égale au peuple Cubain, ceux qui s’oppose au parti politique au pouvoir auraient le droit de s’organiser librement et ils reconnaîtraient les partis politiques différents. Ces politiciens auraient, certainement, leurs propres campagnes et proposeraient leurs idées. La presse pourrait, à la fois, couvrir leurs activités mais aussi dénoncer les abus, les illégalités et les mensonges découverts dans les niveaux différents de la société, incluant bien sûr le gouvernement.
Dans mon petit monde, entouré d’eau, le socialisme vit sans la liberté d’expression et de la presse, il n’y a pas de respect pour les droits de la personne fondamentaux, la corruption du gouvernement et ses institutions est à niveau incroyable, il n’y a pas d’élection, nous n’avons pas le droit de s’opposer ou de critiquer, il y beaucoup de pauvreté, plusieurs problèmes sociaux et de démoralisation. Pour ces raisons et tant d’autres : Je n’aime pas le socialisme.
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