Tuesday, February 10, 2009




Photo: Claudio Fuentes Madan
Auteur: La Salamandra Blanca

J’ai lu le Granma vendredi le 23, je voulais savoir ce qu’il penserait écrire maintenant qu’il effectuait un retour à ses réflexions après un longue période de silence qui a mené à période bien connue de doutes et de spéculations à propos de sa santé et même de son existence physique.

Il semble personnellement vantard, mais subtilement (il omet son propre nom), en disant que la Révolution Cubaine dans son 50ième anniversaire a surpasser 11 présidents américains. Après avoir fait référence à Obama d’une manière presque affable, il explique à tous les intéresser, et aux crédules, pourquoi il a réduit la fréquence de ses réflexions. Il ne veut pas interférer avec le travail de ses collègues ce qui, étant donner son habitude de se mêler de tout, doit être très difficile pour lui et difficile pour nous à croire. Comme nous nous en attendions, il a laissé en l’air une dernière question piquante à propos du 11ième président avec un remarque typique : « Que va-t-il faire quand, bientôt, l’immense pouvoir qu’il a prit dans ses mains est absolument inutile pour surmonter les contradictions insolubles et antagonistes du système? »

Il dit que c’est un rare privilège d’avoir été témoin des évènements pendant si longtemps. Quand ceci n’est pas une pure coïncidence, ni même le produit d’un cadeau divin donner exclusivement à lui mais plutôt quelque chose de très bien planifié, maintenu et défendu par les forces armées, par et pour lui-même. Est-ce le fait qu’il ait encore ce pouvoir aujourd’hui qui est inhabituel? Ou est-ce parce que c’est difficile de croire que nous avons enduré si longtemps?

La chose que j’ai le plus aimé de ce que j’ai entendu est sa mention que ses collègues ne devraient pas s’inquiéter au sujet de sa condition physique ou de sa mort. Le simple fait qu’il a fait allusion à la possibilité qu’il n’aurait peut-être pas ce privilège d’ici la fin du terme d’Obama, est encourageant pour plusieurs, comme s’il aurait dit qu’il lui restait moins que 4 ans à vivre.

Si nous lui posions la même qu’il a posé à Obama, j’aimerais savoir ce qu’il répondrait. Ou ne réalise-t-il pas que lui aussi a eu un pouvoir immense entre ses mains pour bien plus longtemps et qu’il n’a pas résolu les contradictions grandissantes, insolubles et antagonistes de ce système ? Ne devrait-il pas réaliser que le pouvoir qu’il maintient toujours aussi sévèrement est maintenant inutile? … Il pourrait au moins nous donner le plaisir de publier une réflexion sur ce sujet.

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