Sunday, March 8, 2009

Des Cordes à Linges Electrique pour Tous



Ça fait presque trois ans que le filage dans mon édifice, construit dans les années 40, a dit « assez! » et a marché vers la porte nous laissant seuls.* Unité par unité, en moins d’un mois, nos appartements on perdus l’électricité, nous avons graduellement glissés vers la noirceur.

Donc les voisins ont tenus trois réunions par semaine pour trouver une solution rapide et efficace, tandis que ceux d’entres nous qui étaient les plus désespérés ont partagés le coût d’un électricien privé qui est arrivé rapidement et a attaché temporairement un câble pour chacun d’entre nous de la boite à l’appartement. Attachés aux tuyaux et dans la tuyauterie, grimpant par-dessus des murs, pendant dans les airs, ces câbles colorés sont entrés dans nos portes et nos fenêtres pour nous sauvez de la noirceur.

Mais soudainement le rez-de-chaussée de la bâtisse vibra avec une explosion et les lumières dans les marches et les corridors se sont aussi éteintes. (J’ai commencée à souhaiter la bienvenue à mes visiteur avec la phrase ironique : « Bienvenue à Kosovo ») Par la suite tout le monde a été condamné au cordes à linges électriques.

Quatre différentes solutions politiques ont été suggérées rapidement. Ceux qui étaient retraité du Ministère de l’Intérieur et les combattants ont prit une approche super-optimiste avec le gouvernement : des visites et des lettres aux ministres; ceux qui étaient haut-placer ont passés leurs coups de téléphones; les dirigeants du CDR on contacté le micro-social; et nous, les infidèles, ont trouvés un professionnel qui, pour 10cucs par appartement, ferait les rénovations à tout l’édifice en trois jours.

Les mois passèrent et personne ne pouvait se mettre d’accord, même si nos “cordes à linges” passaient à travers la chambre du directeur de la compagnie d’électricité, même lui n’arrivait pas trouver une solution concrète. Ceux du MININT avait la Foie et prenaient la position que tout serait résolu bientôt, tel que promis. Étant donner que certains appartements ne pouvaient ne pouvaient pas payer le 10cucs car ils ne l’avaient simplement pas, notre délégation a entreprit de partager les coûts entre nous pour ceux qui ne pouvaient pas, mais encore certains demandaient de la patience, ils ne voulaient pas payer les 10cucs : pour eux c’était de l’abus et de l’impudence.

La compagnie d’électricité, le micro-social et le logement se lancèrent tous la balle pour savoir à qui revenait la responsabilité, ils nous lançaient d’un bord à l’autre. Finalement la compagnie d’électricité nous a donnée une réponse : leur responsabilité était les câbles qui passaient de la rue à la boîte de l’édifice; de la boîte aux appartements n’était pas dans leur juridiction. Notre édifice était officiellement déclaré une zone sinistrée.

Comme les boîtes étaient veilles (le même âge que les câbles), la compagnie d’électricité on remplacé ce qui leur appartenait : ils sont venu et ont changés les boîtes. Les voisins ont construit un mûr pour les enlever de sur les marches pour la sécurité. Après 15 jours nous avions tous des nouvelles boîtes et les câbles étaient biens orientés vers chaque appartement. Nous continuons de payer, bien sûr, le même prix qu’avant pour notre électricité.

Quelques années ont passées et plusieurs ouragans, qui sèment parfois la panique, et plusieurs (comme moi) quittent quand il y a un événement atmosphérique. Maintenant personne ne se souvient d’avoir envoyé des lettres, d’avoir appelé leurs contacts, ou d’avoir convaincu les gens de payer. Nous sommes habitués, le danger est devenu ordinaire, une réalité journalière : il a complètement perdu sens sémantique.


* « Cette grande humanité a dit: Assez! Et a commencé à marcher, et leur marche de géants ne sera pas freinée. »
Ernesto Guevara

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