Thursday, March 26, 2009

Violations sublime de la cinquantaine absurde



Photo: Claudia Cadelo

Texte: Claudio Fuentes Madan

Je préfère, plutôt, de considérer les événements et de les décrire et de parler un peux des raisons derrières notre essai. Je suis chez Claudia depuis plus ou moins une semaine maintenant, je me trouve face à face avec ses inquiétudes au sujet de Antunez. Elle se battait avec un conflit d’émotion et un mélange de valeurs contradictoire. Elle m’a parlée des points et des valeurs que cet homme défend et la grève de la faim qu’il avait entreprit il y de cela un mois pour exprimer ses demandes au gouvernement Cubain, et d’autres petites informations que nous avions sur ce sujet. Claudia m’a parler que son état de santé précaire ne touchais presque pas personne et qu’en plus, elle se sentait coupable qui si quelque chose d’horrible arrivait à Porno Para Ricardo ou à Yoani Sanchez, par exemple, nous courons aux médias et nous nous battons, mais pour le cas de Antunez rien de similaire ne se passait. Je me souviens qu’au cour de la conversation, nous étions en accord sur les idées : les gens disparates qui espèrent et travaillent pour des changements à Cuba, ceux qui questionnent les lois et les mesures du gouvernement quinquagénaire, ceux qui ont été victimes de toutes sortes de répressions, d’harcèlements et de violations de leurs droits les plus rudimentaire à cause de leurs idées. Mais dans notre analyse des méthodes et des façons de faire face la même situation de déficience aberrante dans laquelle la majorité se retrouve, nous n’avons pas les mêmes idées. Mais avec les désagréments sur le sujet des stratégies choisies, il y a un point d’entente magnifique : nous voulons tous les droits et libertés établis, don je ne parlerai pas, et à tous les jours nous sommes de plus en plus nombreux, non seulement de l’extérieur de Cuba, mais du centre nerveux du petit barbu auquel ils font face avec leur courage personnel, même si ils risquent faire des erreurs en chemin.

Claudia m’a regardé et elle a répétée que personne ne faisait quoique ce soit, qu’elle-même ne faisait rien. D’une certaine manière je ressentais la même chose à l’intérieur, donc pour éliminer cette émotion étrange de vide, don je savais très bien que nous faisions tous partis de cette masse que Claudia appelait maintenant : PERSONNE; je me suis exclamé comme quelqu’un qui ne veux rien savoir : pourquoi n’allons nous pas là bas, à la source du problème, nous pouvons voir Placetas, voir pour nous-mêmes, parler à Antunez, discuter de nos points de vues, etc., nous pouvons en faire un reportage. Je me suis souvenu d’un article incroyable de Reinaldo Escobar intitulé, si je ne trompe pas, « Le problème, Mon problème », que j’ai lu sur son blog, Desde Aqui. Claudia a soudainement arrêtée d’hyperventiler, elle était calme, et sans cligner des yeux elle acquiesçait.
Quatre jours plus tard Ciro Javier Diaz et votre écrivain quittent, ayant payés leurs billets d’autobus avec leurs propre argents, pour apprécié cette pause dans leurs routines habituelles pour partir à l’aventure. Seulement 20 minutes après notre arrivée, à 11 heures lundi matin le 23 mars 2009, à quelques mètres du coin de la supposée rue d’Antunez, nous avons été lancé sur la banquette arrière d’une voiture de patrouille avec la violence habituelle dans des cas comme ceux-ci, nous avons été transporté jusqu’au poste de police pour les interrogations habituelles. Nous avons été libérés le lendemain, le 24 mars, quand ils nous aux amenés en voiture jusqu’à l’autobus pour La Havane, sans chefs d’accusations, ni d’explications et nous ont retourné nos biens : mes caméras, sacs, cartes et même des CDs de Porno Para Ricado et de La Babosa Azul que Ciro voulait donner à Antunez.

Et maintenant, mes amis, le climax, la liste des violations exercées par les répresseurs, dans ce cas banal et pas trop tragique à première vu, dans le cours de leurs routines à temps pleins :


1-L’incapacité de se promener librement dans toutes zones ou régions du territoire national et souverain. C’est clair, donc, que la nation est seulement appréciée, embrassée par ses contrôleurs, et notre expérience réaffirme nos soupçons que nous les citoyens sont chargés par le gouvernement ou ceux qui y sont connecté, de resté confiné à une région de plus en plus précise et limité.

2-Nous avons été privé du droit de faire un appel suivant nos arrestations. Quand nous avons demandé si c’était possible, l’officier en charge nous demanda si le but de cet appel était de dire à nos familles ou nos amis quelle était notre situation. En entendant notre réponse logique et affirmative, il se mit à rire sarcastiquement et nous a demandé comment nous avions eu une telle idée, nous allions être relâché bientôt… nous sommes partis le lendemain. Au moins le billet de retour a été gratuit, car c’était la responsabilité de la Sécurité de cet État Sans Scrupule.

3-Ils ont écrasé le simple droit de rencontrer qui que ce soit, le droit civil de librement acquérir de l’information à notre manière, et le pouvoir de répandre nos opinions sur ceci, par contre ceci à chaque fois les rend plus choqués, furieux et difficiles. Le petit peu d’internet que nous pouvons avoir servira à les exposer et à nous exprimer.

4- Des heures après avoir récupérer mes caméras, j’ai réalisé qu’ils avaient effacé les photos que contenait ‘une d’entre elles, la compacte digitale. Les photos qui s’y trouvait pouvaient facilement être vues sur l’écran et étaient des images personnelles qui n’avaient rien à voir avec ce qui s’était passé. Je comprends que c’est l’obligatoire et violateur modus operendi dans ces cas si, ce qui montre leur peur terrible d’une investigation menée par des simples citoyens, où c’est clair que c’est les contrôleurs qui doivent cacher leurs actions barbares, et ils sont enragés avec le support d’une autorité abusive contre tout essais au vrai journalisme.

Par contre, je veux être clair que nous ne nous attendons pas à d’autre actions de leurs pars, avec leurs rituels habituels d’abus et de manipulations. Nous comprenons qu’ils n’ont pas l’option d’utiliser d’autres méthodes, mais ils sont toujours consistants et dogmatiques. Je comprends vraiment et je sympathise avec eux sans ironie, qu'ils sont contraints à la même cage de conduite. C'est la seule façon qu'ils peuvent maintenir leur conduite ambitieuse et puissante de prédateurs, de plus en plus faible et sans arguments; j'espère qu'ils me pardonneront aussi si je chie imperceptiblement dans leurs tripes et dis, aussi, que je m'excuse plus sincèrement de contribuer et prendre un fardeau maléfique si pénible.

PS – c'est déjà jeudi aujourd'hui et maintenant je vais mettre fin à cette écriture, non seulement à cause d’une paresse réelle et habituelle qui accompagne généralement mes activités intellectuelles, mais aussi parce que par dessus tout le reste, quand j'ai commencé ces lignes hier, mercredi le 25, j'ai appris qu'Orlando Luis Pardo Lazo avait eu une citation pour 3 heures l'après-midi pour comparaitre au poste de police Lawton. J'ai attendu à l'extérieur avec sa petite amie et avec Claudia et Lia, donc j'ai décidé de m'ajouter au gros bastion. Je suis parti à 20 heures dans un état de confusion indescriptible et nous avons décidé de passer la nuit ensemble, en discutant ce nouveau cas de violation. Je peux sembler étrange mais je continue à apprécier l’ampleur étrange de tout ce qui arrive et je suis fier moi-même d'avoir à mes gens de côté qui j'apprends pendant que je les apprécie énormément; du silence qui m’accompagne toujours pendant que moi je ris de quelque chose.

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