Monday, April 27, 2009

La Vrai Histoire de Placetas



De la Saga: Le Ciro contre La Sécurité de l’État
Photo-montage: Lia Villares

Maintenant mes amis, je vais vous raconteur comment j’ai détruit les agents du G2 à Placetas.

Claudio et moi sont arrives à Placetas à midi dans notre hélicoptère, parmi la jubilation et les cris des la foule d’habitants qui jusque là avaient souffert sous le joug de la Sécurité d l’État. Nous avons demandé où se trouvait la maison de notre ami Antunez et nous y sommes dirigé. Quand il nous a vu, un policier poster au coin de la rue par le G2 a ignoré mes pouvoir de Jedi et m’a demandé pour mon identification donc je l’ai lévité 40 mètres dans les airs (rappelez-vous que je ne l’ai jamais laissé redescendre.); le reste des garde se sont enfuis car ils étaient effrayés.

Nous avons alors eu une bonne entrevue avec Antunez, le pauvre était un peu maigre à cause de sa grève de la faim, et nous avons parlé pendant des heures et il nous a donné les noms de ceux qui étaient responsable pour les maisons qui s’écroulaient à Cuba; parmi ces noms il y avait Raul et Fidel Castro qui sont apparemment des frères. Je lui ai dit au revoir en lui promettant de les congédier dès que je serais de retour à La Havane.

En quittant sa demeure, Surprise! Il y avait 3 camions de police spéciale, commandée par le capitaine « Clou Ferroviaire » du G2, avec des matraques et d’autre équipement. J’ai envoyé Claudio parlementé pour éviter un carnage mais quand il est revenu avec une bosse, il me font chier. Face à une avalanche policière j’ai sorti mon sabro-laser et j’ai tranché 10 têtes. Le Clou a alors donné l’ordre d’ouvrir le feu avec le Makarov, mais nous sommes devenus invisible et les projectiles se sont écrasés sur le devant de la maison, une a fait sauté la radio Selena de Antunez. Encore une fois, ils me font chier.

« Tourbillon », j’ai crié… un silence et une anticipation suivirent.

Mais ce nouveau “plug-in” ne fonctionnait pas très bien et seul un ventilateur prit feu dans la maison d’en face. Et ils ont redouble leur attaque avec des cris de guerres et leurs matraques mais je les ai fait éclater avec un projectile invisible projeté par ka paume de ma main. Tous sauf un : le Clou.

Ils on capture Claudio et ils l’ont mis dans un taxi du Ministère de l’Intérieur pour le quartier général de Santa Clara (à La Havane le MININT chauffe des Audis et des Mercedes mais à Placetas le G2 c’est de la merde). J’ai monté mon hélicoptère rapidement et je l’ai poursuivit jusqu’à ce que, par pur hasard, j’ai manqué de gaz au dessus de QG du G2 et je me suis écrasé sur le toit de béton-amiante projetant l’édifice dans les airs, j’ai presque tué Coco Farinas qu’ils venaient juste de relâcher après une semaine d’emprisonnement.

Quand le Clou est venu je lai prit par le collet pour l’amené au chemin de faire le plus proche pour rendre honneur à sont nom. Je ne sais pas s’ils l’ont enlevé du chemin de fer. Bientôt nous allons rattraper la paire de brigand Castro et nous allons les forcer à passer le reste de leurs jours au service d’une micro-brigade

Lien dans le titre: "Vous savez que c’est un noir?"

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