Sunday, April 19, 2009

Opinions Littéraires



Photo originalement du blog de Zoé Valdés

Je suis dans une maison et j’attends une amie, il y a deux livre sur la table : Le Rien Quotidien et La Douleur du Dollar, tout deux par Zoé Valdés. Je n’avais pas lue le deuxième donc je le prends et je commence à le feuilleter. Je me demande à qui ces livres appartiennent et je demande au gens qui sont à l’intérieur et a dehors, mais personne ne semble être le propriétaire. A un certain point un étranger entre, il regarde avec un air incrédule la littérature et il s’exclame : « Mais qui lit ces horreurs? »

J’ai eue l’air surprise et j’ai pensée de lui demander timidement, « pourquoi? » Je m’attendais à ce qu’il me parle de littérature, et qu’il me dise qu’il n’aimait pas Zoé, le malheur des uns fait le bonheur des autres n’est-ce pas? J’imagine même une conversation littéraire intéressante dans laquelle je planifier avouée ne pas avoir lu La Douleur du Dollar mais que j’avais vraiment aimée Le Rien Quotidien… mais mon imagination, malgré sa fertilité, fond devant la réalité. Il me regarde et je sais, par son expression, qu’il pense que je ne connais pas l’auteur donc il décide me l’expliquer pendant 5 minutes :

« Cette auteure et la pire dans ‘la campagne internationale anti-Cuba’ » etc. etc. etc., Il me dit qu’elle est très active et il ajoute avec dégoût qu’elle connait un grand succès en France.

Je garde le silence, en attendant la prochaine gifle, pour une seconde je me demande si je délire, peut-être que Randy Alonso se déguise en touriste le matin avant d’aller filmer l’émission La Table Ronde. Mais je persévère et je prépare ma réponse, même si ca me décourage un peu d’avoir de tel discussion avec les citoyens Européens libre. J’attends une pause dans son discours pour dire :

« Je crois que la position de Zoé Valdés est contre le gouvernement et non contre le people Cubain, c’est deux choses très différentes.”

Mais la phrase n’a jamais franchit me lèvres, il termine son sermon, se retourne et il quitte. Il assume tellement de chose qu’il ne pense pas à rester pour voir ma réaction, il est tellement convaincu que je n’ai rien à dire, que je n’ai pas leu Zoé Valdés (ces livres auraient être les miens), que je ne connais pas le concept de ‘la campagne internationale anti-Cuba’, que je ne lis pas, que je ne suis pas en mesure de commenter sur la politique, la société et la nature.

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