Sunday, January 4, 2009

Al aniversario 50, esta es la cuestión: ¿Irse o quedarse? / En ce 50ième anniversaire, voici la question : Rester ou Quitter?



Peinture: Claudio Fuentes Madan



Les raisons qui mènes aux deux décisions sont aussi importante l’une que l’autre. Le sacrifice qui accompagne chacune des options est immense. Je crois que des choses peuvent être faites pour ce pays autant à l’interne qu’à l’externe, ce n’est le but de la question.

Ce qui est important pour moi est de NE PAS juger le rôle de ceux qui font des choses de partout au monde pendant que les gens croient qu’ils sont soit des opportunistes ou de la Sécurité de l’État. Il semblerait que les longs bras de la paranoïa habitent les pensées de plusieurs gens à un niveau absurde.

Décider de rester ne veut pas dire que je crois qu’il y aura des changements à Cuba dans les 50 prochaines années, je ne veux pas frôlée la naïveté avec le désillusionnement qu’avec demain viens la repentance. Par contre, rester est aussi de renoncer pour une période indéfinie les droits qui me sont dus en tant que citoyenne, certain d’entre que j’exerce présentement car je le veux, même si ils ne sont pas légitimités. Comme Mariela Castro a argumentée dans son étrange lettre qui n’était « PAS » dirigée à Yoani Sánchez (il me semble, d’une certaine façon c’est exceptionnel dans l’histoire de l’écriture, qui maintenant des gens s’écrivent a eu même de Cuba à propos de Yoani, des gens qui ne sont PAS intéressés à elle et qui ne savent même pas qui elle est).


D’un autre côté décider de partir, je crois, serait comme abandonner tout espoir des changements possibles dans les 50 prochaines années. Mais pourquoi ne pas rêvez à un monde où la paranoïa et la peur n’existent pas, où je suis rémunérée pour mon travail, où on ne parle pas de gratuités de 60 millions de dollars pour Dieu sais quelle figure importante quand le commun des mortels doit vivre avec 20 CUC par mois sans bénéfices (des vacances, voyage à Varadero ou dans les cayos ou je ne peux pas entrer) et où l’espionnage civil, comme je l’ai déjà dit, est devenu une institution; et si quelqu’un a des doutes je cite :

« Ce n’est pas possible de diriger et contrôler tout en étant tolérant; de jouer le rôle du « bon gars » comme l’expression populaire le dit. C’est pourquoi il y a une variété de qualitatifs, habituellement dérogatoire, que les gens assignent à ceux qui font ce qui doit vraiment être fait. »

Raul Castro dans son discours devant l’Assemblée Nationale du Pouvoir Populaire
Palais des Congrès, La Havane, 27 décembre 2008


Si je pèse le vocabulaire que j’ai entendu au cours du mois précédent, celui du gouvernement démontre clairement les mots Haine et Intolérance; à quelle sorte de changement me parle t’on, de l’intérieur et quand? Je ne sais pas, avec cette syntaxe, merci quand même, but je crois que je préfère le Guatemala car sans aucun doute nous nos dirigeons vers Guatepeor.


Note du traducteur: “Du Guatemala a Guatepeor” est une expression qui veut dire “du meilleur au pire”

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