Tuesday, January 6, 2009

Baja por peritaje / Couché par les experts



De la saga Ciro contre la Sécurité de l'État


Les rigueurs de la vie dans le G2 est trop difficile pour moi… Imaginez-vous, le premier de travail ils ont ordonné qu’on se tienne en formation… mon Dieu!!! Quelle idée stupide de se tenir immobile à la même place? Déjà, depuis ce moment le mal de dos m'a commencé. Après, une fois qu’ils aient salués le drapeau et qu’ils commencèrent à chanter l‘hymne, j’ai commencé à avoir une réaction cutanée qui me donna de terrible picotement. Mais quand le commandant a dit qu’il fallait aussi réciter les commandements de la momie pétrifiée Castro sur sa définition de la révolution, j’ai souffert d’un infarctus intestinal et je me suis évanoui.

Le médecin qui s'est occupé de moi dans l'Hôpital Naval m'a fait passer un test de tolérance aux Consignes Socialistes et il a déterminé que je n'était pas apte à continuer à servir dans la sûreté de l'état, maintenant je suis un retraité du MININT avec une maigre pension de 120 pesos par mois donc je dois retourner faire de la musique. Certes, j'ai réussi à entrer dans les fichiers secrets et à récupérer mes documents, par contre si je ne survis pas aux séquelles provoquées par un jour dans le G2,i je leur lègue les paroles de la chanson que j’ai écrit pour « al peste a pata del Che »:


Che ne se lavait pas



Che n’était qu’un suceux de bitte à la grande gueule le jour qu’il a rencontré Castro
Et avec ses fins mots il l’arnaqua et le convaincu de monter sur son bateau
Et plus personnes de l’expédition ne pouvaient s’endormir
Parce qu’une odeur répugnante de pied crotté les faisaient mourir .

Sa flatulence éveilla la curiosité de tous et chacun,
Avec son asthme, comment pouvait-il petter autant?
Une telle putréfaction dérangea même Fidel d’une telle façon
Qui le nomma commandant et l’envoya ai loin un mener une invasion

Il a même enfanté quelques enfants au triomphe de la révolution
Qui était la femme folle qui a pu tolérée une telle putréfaction
Enfin Castro l’envoya en Bolivie pour ne plus jamais le sentir
En secret et en cachette il réussi à le faire mourir.

Ps : Il me manque une strophe, quelqu'un a déchiré la feuille, sûrement pour la garder d'un souvenir.

Ciro Diaz
Note du traducteur: La chanson a été traduite avec l'aide grandement appréciée de Charlie Bravo

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