J'ai apprise par l'entremise de l'organe officiel du Parti que notre étoile n'habite plus sur notre drapeau. Ils nous ont déjà donné une explication, mais je vous laisse avec le message symbolique. Je crois que l'image dit plus que les mots.
Opération nettoyage
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Angle des rues Infanta et Vapor, 20h. Un échafaudage grince sous le poids
de ses occupants. La zone est sombre, mais malgré cela, deux peintres
passent leu...
La « re-involution » électrique
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Au cours de l’année 2005, le président de l’époque et premier ministre de
notre planète, s’est présenté devant les caméras pour expliquer à la
population l...
Le numéro 54033 (1re partie)
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Yaremis Flores Le 7 novembre après-midi, je n’imaginais pas que j’allais
changer mon nom contre un numéro. Je sortis à 14 heures environ, pour
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Virgilismes
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Par : Regina Coyula | 17 octobre 2012 | La Mala Letra J’ai lu tellement
de Virgilio Piñera en cette année de centenaire, et j’ai même écrit
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Monsieur Lázaro Fariñas
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” Le journaliste cubain résidant à Miami ”, le même qui, il y a un certain
temps, a déposé une plainte, comme d`habitude, parce qu`on a permis de
montrer à...
Pourquoi Octavo Cerco (le huitième cercle)?
C'est un segment d'une version de la chanson, Épitaphe Pour Vladimir Visotski de Karsmarski Jacek (un chansonnier Rebel Polonais), qui est incluses sur le dernier album de Ciro Diaz, La Limace Bleue, que j'ai écouté sans arrêt pendant au moins deux mois, surtout dans la rue avec un baladeur mp3 que j'ai hérité d'un ami qui a maintenant un Ipod. (Téléchargez le texte ici) (Téléchargez l'album et la couverture ici gratuitement) La chanson (en bref, car elle dure environ 10 minutes) parle d'un artiste désespéré qui voyage a travers les cercles de l'enfer a la recherché d'une réponse ou de la mort. A la fin de son voyage il y a seulement la solitude et le poids d'un pouvoir ultime qui règne sur lui. Je me suis trouvée a prendre l'autobus a travers la Havane a midi au mois d'aout sous le soleil perpétuel avec la distincte impression que j'allais nul part, ou que j'arriverais trop tard, ou que je le faisais pour le plaisir... Je me sens comme si j'étais arrive au huitième cercle (la partie finale de la chanson) ou il n'y a rien and je me sens inutile et vide. Je regarde le gens sans fois qui marche le long de la rue et ont tellement de raison d'avoir peur qu'ils ne se rendre même plus contre de leur peur, des gens qui ont vus tellement de Tables Rondes et tellement de bulletins de nouvelles qu'ils ne sont plus certains ce qui est la réalité ou l'écran du téléviseur. Ils ne peuvent plus se rendre contre qu'ils ne croient plus, mais qu'ils ne peuvent s'empêcher de croire donc ils marchent et me dépassent sans aller nul part.
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